L'essentiel
Nomenclature
du niveau de qualification
Niveau 7
Code(s) NSF
326 : Informatique, traitement de l'information, réseaux de transmission
Formacode(s)
31006 : Sécurité informatique
31014 : Informatique décisionnelle
31038 : Audit informatique
11016 : Analyse données
Date d’échéance
de l’enregistrement
15-12-2024
Nom légal | Siret | Nom commercial | Site internet |
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UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE TROYES (UTT) | 19101060200032 | UTT | https://www.utt.fr/ |
Objectifs et contexte de la certification :
L’expert en cybersécurité a pour mission principale la garantie de la protection des données informatiques exposées à des actes malveillants. Il travaille soit dans une société d’ingénierie informatique soit dans une entreprise entant que consultant en sécurité.
Le rôle d’un expert en cybersécurité c’est aussi la pérennisation des systèmes d’information. Il va d’abord aller traquer les points faibles en diagnostiquant la vulnérabilité du système de façon globale. Ensuite, faire des tests d’intrusion pour enfin, proposer des solutions aux problèmes pour améliorer la sécurité et permettre à l’entreprise de faire face aux attaques, tout en préservant sa sécurité.
Activités visées :
Diagnostic de l’incident de cybersécurité et de son ampleur
Analyse de l’incident de cybersécurité
Remédiation à l’incident de cybersécurité
Participation à l’élaboration de la PSSI
Supervision des infrastructures et des événements de sécurité
Détection des incidents et les menaces
Analyse et catégorisation des codes malveillants
Remédiation aux menaces
Veille permanente sur les menaces émergentes
Préparation de l’audit de sécurité
Réalisation des tests d’intrusion sur les systèmes, les réseaux, les applications web ou mobiles
Rédaction du rapport de résultat de l’audit de sécurité
Identification des preuves numériques
Définition de la stratégie de préservation des données numériques
Collecte des preuves numériques selon la procédure technico-légale
Traitement et analyse des preuves numériques collectées
Production des preuves numériques analysées
Compétences attestées :
Collecter l’ensemble des informations relatives aux incidents informatiques à l’aide des outils adéquats afin d’avoir une première idée sur l’ampleur de la crise
Trier les éléments liés à l’incident en les catégorisant afin d’organiser des éléments de preuves analysables
Analyser les preuves numériques collectées selon la méthodologie forensique, méthode dont l’objectif est de produire des preuves numériques de l'attaque informatique en vue d’une procédure judiciaire ou d'une action interne à l’aide de la collecte de données brutes ou altérées pour reconstituer le déroulement de l'attaque, afin d’identifier la nature de l’incident
Contextualiser l’incident en faisant la corrélation entre signe d’incident et l’analyse de traces informatique (informations collectées) à l’aide d’outils de modélisation et/ou de visualisation afin d’établir des scenarii potentiels d’incident
Élaborer un plan de remédiation afin d’appliquer les actions nécessaires à la résolution de l’incident telles que décrites dans la politique de sécurité des systèmes d’information (PSSI) en émettant notamment des recommandations aux collaborateurs afin de répondre à la crise cyber
Enrichir la politique de sécurité (PSSI) et des documents associés avec le Responsable de la sécurité des systèmes d'information (RSSI) et/ou Directeur des systèmes d'information (DSI) en utilisant les méthodologies d’analyse de risques telles que Méhari ou EBIOS, ainsi que la norme iso 27001, spécifiant les exigences relatives aux systèmes de management de la sécurité des informations (SMSI) etc. afin d’améliorer la sécurité et la résilience du SI
Améliorer de façon continue ses pratiques en coopérant avec des experts à l’aide des outils de réponse à incident spécifiques
Assurer la supervision des infrastructures et des événements de sécurité en exploitant un système de gestion de l’information et des événements de sécurité (SIEM), en utilisant ces informations pour retracer la chronologie d’une cyberattaque afin de mettre en évidence les signaux faibles, qui d’ordinaire, passent inaperçus et d’éviter que ces mêmes attaques se reproduisent dans le futur
Détecter en temps réel les incidents et les menaces en identifiant leurs sources afin de bloquer leur accès au système informatique
Analyser le code malveillant par les techniques d’analyse statique et/ou dynamique pour le qualifier et le catégoriser
Produire un correctif à l’aide de la distribution Kali Linux (langage python, script bash sous linux, exécutable écrit en C++.) qui sera appliqué par les équipes afin de réponse à incident
Attribuer l’incident en établissant une grille d’analyse d’intrusion en utilisant les méthodes adéquates : Kill Chain, Diamond Model, la matrice MITRE ATT&CK, afin de modéliser une intrusion ciblée
Anticiper les futures évolutions des menaces à l’aide de la mise en place d’un système de veille recensant le renseignement en source ouverte (OSINT), les flux de données commerciaux et communautaires, les média sociaux (SOCMINT), le renseignement d'origine humaine et capacité d'analyse et de corrélation (HUMINT), les informations provenant du Deep et Dark web afin de limiter l’exposition de l’entreprise sur les réseaux sociaux, ou sur les moteurs de recherche, limitant ainsi la surface d’attaque que pourrait exploiter un hacker
Analyser le périmètre d’intervention des tests d’intrusion afin de lancer des tests cadrés
Réaliser des tests d’intrusion sur les systèmes, les réseaux, les applications web ou mobiles en utilisant les outils adéquats selon la méthodologie de tests d’intrusion (définition du plan d’audit, des scenarii, etc.), tout en assurant une veille technique sur les outils d’audit et les pratiques d’attaque et tests d’intrusion en respectant le Code pénal, notamment des articles 323-1 et suivants, spécifique à la cybercriminalité afin d’identifier les services vulnérables et de détecter les éventuelles menaces ou intrusions
Élaborer un rapport détaillé des résultats des tests comprenant des captures d’écran des tests et systématiquement comporter une note explicitant, pour chaque faille ou vulnérabilité découverte, la contre mesure à mettre en place, afin d’éradiquer ou de limiter le risque voire de proposer un plan de remédiation
Identifier le périmètre et l’environnement technique afin d’évaluer la quantité de données à acquérir
Définir la stratégie de préservation des données (en considérant la volumétrie des données à analyser, le temps dont on dispose, le matériel de copie dont on dispose, et d’autres contraintes externes) afin de rédiger le document de traçabilité des actions effectuées
Réaliser la collecte de façon technico-légale à l’aide d’outils de collecte dédiés (suivant les cas, en extrayant les données sur un support de type clé USB, ou bien, de réaliser une copie technico-légale avec des outils open source, tels que dd, dcfldd, présents sur la distribution Kali Linux, ou bien des outils commerciaux comme ftk imager), afin de préserver les preuves numériques
Analyser les artefacts identifiés (disque dur, mémoire, traces réseaux, journaux d’évènements, e-mail, navigateurs, smartphones …) afin de tracer les preuves numériques ·
Rédiger un rapport d’analyse en adaptant son discours afin de le présenter à divers publics, techniques et institutionnels (forces de l’ordre, magistrat, équipe de réponse à incident).
Modalités d'évaluation :
Etude de cas, cas pratiques basés sur des situations de travail, projet professionnel, rapport, soutenance orale devant jury
RNCP36072BC01 - Traiter les incidents de cybersécurité
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
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Collecter l’ensemble des informations relatives aux incidents informatiques (journaux d’évènements systèmes et réseau, diagrammes de topologie réseau, images systèmes) à l’aide d’outils open-source (autopsy, foremost, scalpel, volatility, plaso, log2timeline, etc.) souvent présents sur la distribution Kali Linux afin d’avoir une première idée sur l’ampleur de la crise. Trier les éléments liés à l’incidenten les catégorisant afin d’organiser des éléments de preuves analysables Analyser les preuves numériquescollectées selon la méthodologie forensique, à l’aide de la collecte de données brutes ou altérées permettant d’identifier la nature de l’incident et de reconstituer le déroulement de l'attaque, afin lancer une action interne ou une procédure judiciaire Contextualiser l’incident en faisant la corrélation entre signe d’incident et l’analyse de traces informatiques (informations collectées) à l’aide d’outils de modélisation et/ou de visualisation afin d’établir des scenarii potentiels d’incidents Élaborer un plan de remédiation afin d’appliquer les actions nécessaires à la résolution de l’incident telles que décrites dans la politique de sécurité des systèmes d’information (PSSI) en émettant notamment des recommandations aux collaborateurs afin de répondre à la crise cyber Enrichir la politique de sécurité (PSSI)et des documents associés avec le RSSI et/ou DSI en utilisant les méthodologies d’analyse de risques telles que Méhari ou EBIOS, ainsi que la norme ISO 27001, spécifiant les exigences relatives aux systèmes de management de la sécurité des informations (SMSI) etc., afin d’améliorer la sécurité et la résilience du SI Améliorer de façon continue ses pratiques en coopérant avec des experts à l’aide des outils de réponse à incident spécifiques (CERT, plateforme de partage, virus total) dans le but de partager les failles, les vulnérabilités, les indices de compromission, et éviter que d’autres structures ne soient affectées par les mêmes menaces |
Cas d’étude |
RNCP36072BC02 - Analyser la menace cyber pesant sur une organisation
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
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Assurer la supervision des infrastructures et des événements de sécurité en exploitant un système de gestion de l’information et des événements de sécurité (SIEM) et en utilisant ces informations pour retracer la chronologie d’une cyberattaque, pour mettre en évidence les signaux faibles, qui d’ordinaire, passent inaperçus. Cela permettra de mettre à jour de nouveaux risques identifiés, et d’apporter des modifications sur les équipements pour éviter que ces mêmes attaques ne se reproduisent dans le futur Détecter en temps réel les incidents et les menaces en identifiant leurs sources afin de bloquer leur accès au système informatique Analyser le code malveillant par les techniques d’analyse statique et/ou dynamique pour le qualifier et le catégoriser Produire un correctif à l’aide de la distribution Kali Linux (langage python, script bash sous linux, exécutable écrit en C++.) qui sera appliqué par les équipes afin de produire une réponse à incident Attribuer l’incident en établissant une grille d’analyse d’intrusion en utilisant les méthodes adéquates : Kill Chain, Diamond Model, la matrice MITRE ATT&CK, afin de modéliser une intrusion ciblée Anticiper les futures évolutions des menaces à l’aide de la mise en place d’un système de veille recensant le renseignement en source ouverte (OSINT), les flux de données commerciaux et communautaires, les médias sociaux (SOCMINT), le renseignement d’origine humaine et la capacité d’analyse et de corrélation (HUMINT), les informations provenant du Deep et Dark web, afin de limiter l’exposition de l’entreprise sur les réseaux sociaux, ou sur les moteurs de recherche, limitant ainsi la surface d’attaque que pourrait exploiter un hacker |
Cas pratique Test écrit |
RNCP36072BC03 - Auditer la sécurité technique d’une organisation
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
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Analyser le périmètre d’intervention des tests d’intrusion (après avoir défini le périmètre d’intervention, et la modalité des tests à utiliser, les outils de la distribution Kali Linux seront utilisés, tels que nmap, metasploit et armitage) afin de lancer des tests cadrés Réaliser des tests d’intrusion sur les systèmes, les réseaux, les applications web ou mobiles en utilisant les outils adéquats selon la méthodologie de tests d’intrusion (définition du plan d’audit, des scenarii, etc.), tout en assurant une veille technique sur les outils d’audit et les pratiques d’attaque et tests d’intrusion en respectant le Code pénal spécifique à la cybercriminalité, les articles 323-1 et suivants notamment, afin d’identifier les services vulnérables et de détecter les éventuelles menaces ou intrusions Élaborer un rapport détaillé des résultats des tests comprenant des captures d’écran des tests et, systématiquement, une note explicitant, pour chaque faille ou vulnérabilité découverte, la contre-mesure à mettre en place, afin d’éradiquer ou de limiter le risque voire de proposer un plan de remédiation |
Cas d’étude Cas pratique |
RNCP36072BC04 - Réaliser une analyse technico-légale (forensique)
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
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Identifier le périmètre et l’environnement technique, en accédant si nécessaire au système d’exploitation ou au matériel pour avoir une vision précise de la volumétrie des données afin d’évaluer la quantité de données à acquérir Définir la stratégie de préservation des données (en considérant la volumétrie des données à analyser, le temps dont on dispose, le matériel de copie dont on dispose, et d’autres contraintes externes) afin de rédiger le document de traçabilité des actions effectuées Réaliser la collecte de façon technico-légale à l’aide d’outils de collecte dédiés soit en extrayant les données sur un support de type clé USB, ou bien, soit en réalisant une copie technico-légale avec des outils open source, tels que dd, dcfldd, présents sur la distribution Kali Linux, ou bien des outils commerciaux comme ftk imager, afin de préserver les preuves numériques Analyser des artefacts identifiés (disque dur, mémoire, traces réseaux, journaux d’évènements, e-mail, navigateurs, smartphones…) afin de tracer les preuves numériques Rédiger un rapport d’analyse en adaptant son discours afin de le présenter à divers publics, techniques et institutionnels (forces de l’ordre, magistrat, équipe de réponse à incidents) |
Cas d’étude |
Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :
Pour viser la certification professionnelle complète, le candidat doit valider les 4 blocs de compétences, rédiger une thèse professionnelle et la présenter oralement devant un jury composé d’académiques et de professionnels, en se basant sur son expérience en entreprise de 4 à 6 mois équivalent temps plein, consécutifs ou non, ou sur son expérience dans le cadre d'une alternance
Secteurs d’activités :
Grands groupes industriels
Secteur bancaire
Entreprises publiques
Administrations
PME/TPE
Type d'emplois accessibles :
Directeur du Système d’Information
Responsable de la Sécurité des Systèmes d’Information
Responsable CERT (Computer Emergency Response Team) ou équipe de réponse à incidents
Toutes les fonctions d’expertise en cabinet de conseil : audit, consultant, intégrateur, formateur...
Ingénieur sécurité, cybersécurité, Ingénieur Sécurité d'information
Consultant en SSI, Sécurité, Sécurité informatique
Information Security Officer
Responsable formation forensic et cybersécurité
Analyste forensic
Directeur adjoint des enquêtes de l'AMF (Autorité des marchés financiers)
Chef de laboratoire de criminalistique numérique
Enquêteur en cybercriminalité
Consultant (analyste CERT)
Consultant CERT
Analyste Sécurité CERT
Analyste SOC (security operation center)
SOC Security Analyst
Code(s) ROME :
- M1802 - Expertise et support en systèmes d''information
- M1801 - Administration de systèmes d''information
- M1806 - Conseil et maîtrise d''ouvrage en systèmes d''information
Références juridiques des règlementations d’activité :
Le métier n'est pas règlementé, néanmoins dans l'exercice professionnel de son activité, l'Expert en Cybersécurité doit respecter et tenir compte des droits, obligations et normes en matière de sécurisation du système d'information pour garantir sa mise en conformité. Il doit prendre en compte les obligations règlementaires et normatives en vigueur notamment le règlement général sur la protection des données (RGPD) et veiller à ce que le plan de sécurisation soit adapté au besoin de sécurisation du système.
La prise en compte des décrets suivants reste une nécessite dans l’exercice de l’activité de l’Expert en Cybersécurité : le décret 2015-350, et 2015-351, surtout lors des activités de veille et de management du risque.
Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :
Sont recevables les candidatures d’étudiants titulaires d’un des diplômes suivants :
Diplôme d’ingénieur habilité par la Commission des Titres d’Ingénieur (liste CTI)
Diplôme d’une école de management habilitée à délivrer le grade de Master (liste CEFDG)
Diplôme de 3e cycle habilité par les autorités universitaires (DEA, DESS, Master…) ou diplôme professionnel cohérent et équivalent avec le niveau bac+5
Diplôme de M1 ou équivalent, pour des auditeurs justifiant d’au moins trois années d’expérience professionnelle en sécurité informatique
Titre inscrit au RNCP niveau 7 (nouvelle nomenclature)
Diplôme étranger équivalent aux diplômes bac+5 français exigés ci-dessus
Conditions d’accès dérogatoires :
Dans la limite de 40 % maximum de l’effectif de la promotion suivant la formation Mastère Spécialisé concernée, sont recevables, après une procédure de Validation des acquis personnels et professionnels (VAPP), les candidatures de personnes justifiant a minima de 10 années d’expérience professionnelle (hors stage, césure, cursus initial en alternance).
Par dérogation pour 30 % maximum du nombre d’étudiants suivant la formation Mastère Spécialisé concernée, sont recevables les candidatures d’étudiants titulaires d’un des diplômes suivants :Niveau M1 validé ou équivalent sans expérience professionnelle, Diplôme de L3 justifiant d’une expérience adaptée de 3 ans minimum
Le pourcentage total des dérogations prévues au a) et au b) ci-dessus ne doit pas excéder 40%.
Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :
Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :
Non
Validité des composantes acquises :
Voie d’accès à la certification | Oui | Non | Composition des jurys | Date de dernière modification |
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Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant | X |
XXXXXXXXXX |
15-12-2021 | |
En contrat d’apprentissage | X |
XXXXXXXXXX |
15-12-2021 | |
Après un parcours de formation continue | X |
XXXXXXXXXX |
15-12-2021 | |
En contrat de professionnalisation | X |
XXXXXXXXXX |
15-12-2021 | |
Par candidature individuelle | X | - | - | |
Par expérience | X |
XXXXXXXXXX |
15-12-2021 |
Oui | Non | |
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Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie | X | |
Inscrite au cadre de la Polynésie française | X |
Aucune correspondance
Date de décision | 15-12-2021 |
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Durée de l'enregistrement en années | 3 |
Date d'échéance de l'enregistrement | 15-12-2024 |
Statistiques :
Année d'obtention de la certification | Nombre de certifiés | Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae | Taux d'insertion global à 6 mois (en %) | Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) | Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %) |
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2019 | 25 | 0 | 100 | 90 | 90 |
2018 | 11 | 0 | 100 | 78 | 67 |
Lien internet vers le descriptif de la certification :
https://www.utt.fr/formations/mastere-specialise/expert-forensic-cybersecurite
Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification
Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :